Et si on pouvait partager les talents ?

Shareajob.pro (lire share a job), c’est le partage des talents facile entre employeurs !
Notamment grâce au le prêt de main-d’œuvre.
Comment ça marche ?
C’est un deal gagnant-gagnant-gagnant, entre un salarié volontaire, et deux employeurs.

Trois acteurs sur shareajob
Le prêteur

C’est un employeur en sureffectif, qui n’a pas assez de travail pour toute son équipe.
Il met à disposition un salarié volontaire à l’emprunteur, pour une durée limitée.
Il refacture le salaire du volontaire à l’emprunteur.
Le volontaire

C’est un salarié du “prêteur”, qui se porte volontaire pour prêter main-forte dans une autre structure qui a besoin de renforts.
Il part en mission chez l’emprunteur pour une durée limitée.
Son salaire est payé par le prêteur, comme d’habitude.
L’emprunteur

Un employeur qui a besoin de renforts temporaires (pic d’activité, remplacement de congé maladie ou maternité…).
Il accueille le volontaire en mission pour une durée limitée.
Il rembourse le salaire du volontaire au prêteur.
Shareajob et le droit du travail : le cadre légal du prêt de main-d’œuvre.
Il s’agit de contrat de mise à disposition temporaire de main-d’œuvre.
Le contrat signé entre le salarié volontaire, son employeur et la structure d’accueil.
Il y a deux grandes conditions pour qu’il soit légal :
- D’une part, le salarié doit être volontaire.
L’employeur ne peut donc pas imposer le prêt de main d’œuvre à ses équipes. - D’autre part, le prêt doit être non lucratif.
Il est en effet interdit de gagner le moindre euro de marge pour le prêteur.
Sinon, ce serait du marchandage de main-d’œuvre.
Il faut donc refacturer exactement le coût de son salarié volontaire à l’emprunteur.
Pour plus de détails :
- Notre FAQ sur le prêt de main-d’œuvre et son cadre légal.
- Les 5 points de vigilance sur le prêt de main-d’œuvre en 2020.
- Le replay du webinaire : le prêt de main-d’œuvre au service de l’emploi.
Shareajob à la TV
Tous gagnants grâce au prêt de main-d’œuvre
Le volontaire, boosté

- 100 % de mon salaire est payé. Plutôt que 84 % si je suis en chômage partiel.
- Me rendre utile, là où il y en a besoin, plutôt que de rester inactif.
- M’ouvrir et gagner en compétences. En effet, je découvre d’autres équipes, métiers, secteurs. Je cultive aussi mon employabilité.
L’emprunteur accélère grâce à shareajob

- J’accueille vite des renforts qualifiés, pour la durée qui nous arrange.
- On paye le vrai coût du travail. Je ne paye que le salaire chargé volontaire.
- Je soulage des employeurs en difficulté, et contribue donc à préserver des emplois.
Le prêteur soulagé par le prêt de main d’œuvre

- Je conserve mes talents. En effet, j’évite le licenciement économique : 100% des salaires sont remboursés.
- Mais aussi je les fais monter en compétence en les ouvrants à d’autres environnements.
- Je contribue aux enjeux importants du moment, puisque j’envoie mes salariés volontaires en renforts là où c’est utile.
L’Etat évite des coûts grâce au prêt de main-d’œuvre
L’Etat est gagnant aussi, par des coûts évités. En effet, il n’a plus à payer les salaires de chômage partiel quand les salariés volontaires travaillent chez d’autres.
Du prêt de matériel sportif au prêt de main-d’œuvre : la naissance de « share a job »
L’histoire de shareajob en vidéo
Clément était invité à présenter le concept aux EuraTech Day 2020.
L’histoire de shareajob écrite
Début 2020, notre seule plateforme de partage était Shareathon.
Mais avec le confinement, elle n’était plus très utile…
Nous avons donc cherché comment continuer à nous rendre plus utiles justement.
La première idée, c’était la mobilité solidaire. On encourageait à prêter des vélos aux soignants et autres premières lignes.
Mais ce n’était pas suffisant.
Peu après, Clément avait conçu une méthode pour innover avec ce qu’on a : Ressources & Résilience. Nous l’avons appliquée à notre cas, et en particulier sur le sujet de l’emploi.
Nous avons pris conscience de deux faits :
- d’une part, des milliers de personnes étaient en chômage partiel, et beaucoup de plans sociaux se préparaient
- et d’autre part, des milliers de jobs restaient non pourvus.
Et on s’est posé une question toute simple :
Pourquoi pas faire des vases communicants entre les structures en sureffectif et celles en sous-effectif ?
C’est alors qu’on a réalisé que Share and Smile avait une ressource très utile pour cela : le moteur de Shareathlon. Il suffisait donc de le dupliquer, et de changer la carrosserie.
Plutôt que faciliter des prêt de matériel, shareajob facilitera le prêt de main-d’œuvre.